On se demandait ce qui se passait… pourquoi le blog de Jodi ne « bougeait » plus depuis quelques temps… ce qui lui était arrivé ?
Non, Jodi n’a pas été retrouvée morte dans son appartement, victime
- Un terroriste n’a pas été arrêté, en possession de 6 bombes aérosol et de 13 pistolets à peinture ?
d’une invasion de coccinelles ouzbèkes tirées par un drone américain (guidé par un pointeur de l’OTAN et activé par un centre de commandement situé au Nevada) ? Elle n’a pas été poursuivie et rattrapée par une moissonneuse-batteuse en furie (accusée d’avoir mis le chapeau du curé griller dans le four d’une gazinière et/ou d’avoir sauté à la corde sur le toit de la voiture du bourgmestre) à Nassogne? Elle ne s’est pas non plus cachée dans une roulotte obscure en compagnie d’un voleur d’enfants anversois ou marollien qui se proposait
- Ce sera notre langue secrète ? A l’abri des grandes oreilles intrusives et liberticides de l'OTAN, du Vatican ou de l'Office des étrangers !
de lui apprendre le Sildave et l’Arumbaya ?
Non, ce qu’il lui est arrivé à Jodi, c’est tout simplement ceci : quelqu’un
- Un lecteur ou une lectrice (toujours ça de pris !) courroucé(e) ! Un farceur ou une farceuse en écriture électronique ?
l’a piratée ! La gloire, quoi !
Les grands robots pensants de Google n’ayant pas été foutus de (ou ne s’étant pas
- Tout le monde ne s’appelle pas Britney Spears, Kaka, Aung San Suu Kyi, Marwan Barghouti, Barack Obama ou Ranzan Kadyrov !
donnés la peine) de rétablir l’ordre constitutionnel et de mettre fin au trouble de jouissance qu'elle encourait, Maître Espinho (alias Djuna le Magnifique) a offert un nouveau blog à Jodi… dont voici le lien :http://jodi.over-blog.net
et aussi (bientôt ?... d'ici demain ?): http://www.joditoutelanuit.com
Et pendant tout ce long processus de résurrection, le blog de « Jodi, toute la nuit » devenu
- Pas d’entrées, pas de sorties !
un cimetière, est resté fermé… Deux jours, trois jours, bientôt huit jours… Tandis que le guépard arpentait nerveusement la savane… Et que de la bave (jaunâtre) coulait de sa gueule fumante… Et que, famélique et misérable, le perversif se marchait sur la langue …