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19 octobre 2009 1 19 /10 /octobre /2009 14:48

Jodi  ?
J'ai fait tout ce que j'ai pu pour la gamine, non ? Les autres aussi ont fait tout ce qu'ils pouvaient, non ?

Et je remercie particulièrement Daniel Simon, Pierre Bertrand, In Koli Jean Bofane, Gauthier de Villers, Alain Brezault, Joëlle Baumerder, Carmelo Virone, Joëlle Salmon et Danielle (avec deux ailes)... et tant d'autres...  Alain Germoz, André Stas, Marie-Louise Bibish Mumbu, Violaine de Villers... et tant d'autres... Fiston Nasser Mwanza Mujila, Anne-Marie La Fère, Henri Boma, Michèle Kupélian, Paul  Van Ackere, Anastase Nzeza Bilakila, Nicole Legrand, Justin Kankwenda Mbaya, Ben Mavinga Zandler, Raymond Suke Nzanga, Marychelo Lopez, Ouardia Derriche, Françoise Lambinet, Marianne Berenhaut, Asimba Bathy, Roby Comblain et Claudine Gillet... et tant d'autres
*... Nadine Plateau, Antoine Tshitungu Kongolo, Walter Swennen, Gérard Adam, Bernard Villers, Jan De Cort, Jean-Marie La Haye, Gaby Castel, Hallain Paluku, Jamal Tahtah, Jean-Marc Turine, Judith Bisumbu, Didier Beaufort, Dahlia Luxembourg, Olivier Le Brun, Malou Fontier, Guy Gelgessen, Hélène Blanc, Margarete Jennes... et tant d'autres... Bénédicte Meiers, Filip De Boeck, Kangni Alem, Monik Dierckx, Michel Dehoux, Odile Fabregoul, Viktor Rousseau, François Misser, Serge Goldwicht, Bruno Maiter, Marie-Jeanne Pousseur, Françoise De Moor, Claudine De Moor, Jean-Marc Dezille (qui vient à peine de partir et dont l'absence, déjà, pèse), Béatrice Reynaerts, Aurélie Wijnants, Jo Jadin, Willy Wolsztajn, Hélène Taquet, Freddy Tsimba, Valérie Brixhe, Liliane Cock, Geneviève Gendebien, Violetta Deltell, Hans Samyn, Toula Aslanidis, Jean-Paul Dispaux, Els et Julie Swennen, Vincent Lombume Kalimasi, Emongo Lomomba, Nicole Gérard, Marc Clausse, Daniel de Beer, Klara-Gaïa Chastan, Frédéric Jacquemin... et tant d'autres... Maddy Tiembe, Jean-Louis Dujardin, Brigitte Baptista, Raoul Mahé, Tristan Guilloux, Viviane Van Engelshoven,  Jean-François Foulon, Antoinette Safu Mbakata, Maïtre Espinho alias Djuna le Magnifique et Ana Lanzas... qui se sont tous, tous, tous
- Sans doute avait-elle perdu ses couleurs à la lumière du jour ? Faut croire que, sans dot**, elle n'était plus mariable ?

chacun à sa manière, dans son art et à son niveau, portés au secours de Jodi...
 
mais je crois, je crois, je crois...

- Je ne crois ni en Dieu ni aux miracles ! Et je suis partisan de l'euthanasie
, évidemment ! Et opposé à toute forme d'acharnement thérapeutique !
je crois qu'il est temps de laisser tomber...

* Et comment pourrais-je oublier
pascale devil (alias channel 5) ? ...  mais je suis bien obligé de la recenser à part:  chez elle, tout doit s'écrire en minuscules, oh !
**Jodi est une Bulanko, non ? Dans cette tribu-là, on inverse la charge de la dot, non ?



J'ai prévu de mettre un terme à ma fonction d'écrivain "public" à partir du 19 novembre 2009 et de redevenir, à cette date
- Ce que je n'aurais jamais dû cesser d'être ?

un écrivain "privé"...
Je n'enverrai donc plus mes mails agaçants qu'à quelques tripés  (ou aux branquignoles et aux azimutés qui m'en feront expressément la demande)...

Mais je n'interdis à personne de cliquer sur:
http://www.joditoutelanuit.com
Je continuerai, en effet, à me faire plaisir et à jouer du diamba (ou à fumer du djembe ?) et à coller des infoutus sur le blog de Jodis, de Jodix, de Jodice, de Jodike, de Jodila, de Jodima, de Jodita ou de Jodiva, la belle marquise...


ddl
alias VbD
 
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Profil



 Didier de Lannoy
 delannoydidier@gmail.com



Après avoir, au Congo, mis le feu à tous ses manuscrits comme on brûlerait ses vaisseaux, Didier de Lannoy, en rentrant de son très long séjour africain, s’est dit qu’il était temps désormais de retrouver le chemin de l’écriture.
Après quelques nouvelles publiées dans diverses revues et un premier roman dont le titre provocateur (« Le cul de ma femme mariée ») prouvait que son auteur n’avait pas l’intention de rejoindre le club des écrivains bien pensants, Didier de Lannoy rédigea une première version de « Jodi, toute la nuit » qui fut adaptée à la RTBF par Violaine de Villers. Lors de cette expérience radiophonique, la comédienne Yolande Moreau interpréta le personnage de Jodi que l’on retrouve avec infiniment de plaisir dans ce roman étrange à plusieurs voix dont le style semble s’improviser au rythme d’un blues obsédant...

Alain Brezault

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